Par substancesPar classes
9 contre-indications | 46 à prendre en compte | 18 précautions d'emploi
vaccins vivants atténués - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque devirus vivant atténué de la grippe - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque devirus varicelle-zona - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque devirus rubeoleux - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque devirus rougeoleux - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque devirus des oreillons - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque devirus de la fievre jaune - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque derotavirus - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque debcg - Contre-indiqué A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes: maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Et pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie. risque defluoroquinolones - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.curares non dépolarisants - A prendre en compte Avec les glucocorticoïdes par voie IV : risque de myopathie sévère, réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).anti-inflammatoires non stéroïdiens - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.vecuronium - A prendre en compte Avec les glucocorticoïdes par voie IV : risque de myopathie sévère, réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).valdecoxib - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.tenoxicam - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.sulindac - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.rofecoxib - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.rocuronium - A prendre en compte Avec les glucocorticoïdes par voie IV : risque de myopathie sévère, réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).piroxicam-betadex - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.piroxicam - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.phenylbutazone - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.pefloxacine - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.parecoxib - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.pancuronium - A prendre en compte Avec les glucocorticoïdes par voie IV : risque de myopathie sévère, réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).ofloxacine - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.norfloxacine - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.nimesulide - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.naproxene - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.nabumetone - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.moxifloxacine - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.morniflumate - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.meloxicam - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.lomefloxacine - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.levofloxacine - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.ketoprofene - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.indometacine - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.ibuprofene - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.flurbiprofene - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.fenoprofene - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.étoricoxib - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.etodolac - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.enoxacine - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.diclofenac - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.dexketoprofene trometamol - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.cisatracurium - A prendre en compte Avec les glucocorticoïdes par voie IV : risque de myopathie sévère, réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).ciprofloxacine - A prendre en compte Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.celecoxib - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.atracurium - A prendre en compte Avec les glucocorticoïdes par voie IV : risque de myopathie sévère, réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).alminoprofene - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.alcuronium - A prendre en compte Avec les glucocorticoïdes par voie IV : risque de myopathie sévère, réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).acide tiaprofenique - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.acide niflumique - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.acide mefenamique - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.acide acetylsalicylique - A prendre en compte Majoration du risque hémorragique.
- des doses antalgiques ou antipyrétiques (>=500 mg par prise et/ouaceclofenac - A prendre en compte Augmentation du risque d’ulcération et d’hémorragie gastro- intestinale.anticonvulsivants inducteurs enzymatiques - Précaution d'emploi Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par l'inducteur : les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation.
Surveillance clinique et biologique ; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.anticoagulants oraux - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.warfarine - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.tioclomarol - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.rivaroxaban - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.rifampicine - Précaution d'emploi Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par la rifampicine ; les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation.
Surveillance clinique et biologique ; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par la rifampicine et après son arrêt.primidone - Précaution d'emploi Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par l'inducteur : les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation.
Surveillance clinique et biologique ; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.phenytoine - Précaution d'emploi Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par l'inducteur : les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation.
Surveillance clinique et biologique ; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.phenobarbital - Précaution d'emploi Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par l'inducteur : les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation.
Surveillance clinique et biologique ; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.phenindione - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.isoniazide - Précaution d'emploi Décrit pour la prednisolone. Diminution des concentrations plasmatiques de l'isoniazide. Mécanisme invoqué : augmentation du métabolisme hépatique de l'isoniazide et diminution de celui des glucocorticoïdes.
Surveillance clinique et biologique.fosphenytoine - Précaution d'emploi Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par l'inducteur : les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation.
Surveillance clinique et biologique ; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.fluindione - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.dabigatran - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.carbamazepine - Précaution d'emploi Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par l'inducteur : les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation.
Surveillance clinique et biologique ; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.apixaban - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.aliskiren - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.acenocoumarol - Précaution d'emploi Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, avec les antivitamines K, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.